Petite réflexion du moment...
Avant de râler ou gronder quelqu'un, demandons-nous si nous l'avons pas mis en situation de ne pas avoir d'autre choix que de se faire gronder par nous...Lui avons-nous laissé le choix au fond?
Quelles étaient ses alternatives possibles pour éviter notre mauvaise humeur, nos reproches, ect...
Au fond, ne l'avons-nous pas emmené inconsciemment exactement à l'endroit où il n'avait d'autre choix que de se planter?
Cela correspond aussi à toutes les situations où une personne évite de nous dire certaines réalités qui nous blesseraient (pour ne pas nous faire de la peine), mais que finalement, il se retrouve obligé (par nous) à les dire puis se retrouve face à notre frustration et donc notre colère qui lui tombe dessus, alors qu'au fond, il n'y est pour rien.